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Il y a urgence à retirer la réforme de l’Assurance chômage
Pour un retrait de la réforme de l’Assurance Chômage
L’année 2020 s’annonce difficile pour les personnes au chômage
En finir avec les idées fausses sur les pauvres et la pauvreté : le quiz !
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Et non... Le seuil de pauvreté est actuellement fixé à 1102 €.
Il est calculé en fonction du revenu médian qui équivaut aujourd'hui à 1800€ par mois. C'est à dire que la moitié des Français gagne moins de 1800 €, l’autre plus. Le seuil de pauvreté le plus utilisé est fixé à 60 % du revenu médian, soit 1102 €. En France, 9,2 millions de personnes vivent en dessous de ce seuil : c'est 14,6 % de la population française.
D’autres seuils existent à 50 % ou 40 % du revenu médian. Le seuil à 40 % représente le seuil de grande pauvreté et équivaut à 708 € par mois. En France, 2 millions de personnes vivent sous ce seuil de pauvreté.
(Source : Insee, 2023)
Tout à fait ! Le seuil de pauvreté est actuellement fixé à 1102 €.
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Le RSA est aujourd'hui de 607 € depuis la revalorisation du 1er avril 2023, auquel il faut, si l'on perçoit une allocation logement, soustraire un forfait, qui le ramène à 534 €.
A noter que tout revenu perçu par les allocataires sont pris en compte dans le calcul du RSA, entraînant une réduction de celui-ci (revenu du travail évidemment, mais aussi toute aide familiale, gratification de stage des enfants, certaines prestations sociales comme les allocation familiales, etc.)
ATD Quart Monde plaide pour que le RSA soit revalorisé au niveau du seuil de pauvreté fixé à 50 % du revenu médian, soit environ 900 €. Évidemment, l’allocation doit être associée à un accompagnement de qualité, sans que celui-ci ne soit une condition au versement du RSA.
(Source : CNAF, 2023)
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Seulement 7 %, c'est dire à quel point l’accompagnement est le parent pauvre de la politique sociale de l’État.
C’est pourtant un élément clé. Résultat : après 6 mois d’ouverture de droits au RSA, 40 % d’allocataires ne sont toujours pas accompagnés. Pire, après 2 ans, 13 % des allocataires n’ont toujours pas eu de premier rendez-vous.
(Source : Drees - Ministère de la Santé, 2021)
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Ce sont en réalité 34 % des ayants droits qui ne le demandent pas. Il s’agit du phénomène de non-recours aux droits.
Les raisons de ce non-recours sont variées : manque d’information, complexité des démarches, stigmatisation, honte...
(Source : Drees - Ministère de la Santé, 2022)
C'est exact ! Il s’agit du phénomène de non-recours aux droits.
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Seuls 36 % des demandeurs d’emploi perçoivent une indemnisation de l’Assurance chômage.
Le montant moyen de l’allocation chômage mensuelle est de 960 €. Contrairement à ce que certains voudraient laisser croire, la vie d’un demandeur d’emploi n’a rien d’enviable.
(Source : Unédic, 2022)
En effet, seuls 36 % des demandeurs d’emploi perçoivent une indemnisation de l’Assurance chômage.
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39%, c'est donc 10 points de moins : on voit qu’il y a un vrai décrochage du RSA par rapport au SMIC.
Cela signifie qu’en 1988, avec le minimum garanti qu’était le RMI, on avait plus de pouvoir d’achat. Par ailleurs, sachant que les personnes qui sont au SMIC ont droit aux mêmes aides que celles qui sont au RSA, on voit bien combien les discours qui voudraient que l'on vive mieux au RSA qu'au SMIC ne tiennent pas.
(Source : Calcul à partir des chiffres de l'Insee (SMIC) et de la CNAF (RSA))
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Non, c'est faux ! Les demandeurs d’asile et migrants en situation irrégulière n’ont pas droit aux prestations sociales.
Ils peuvent seulement bénéficier de l’Aide aux demandeurs d’asile (ADA) : 206 € mensuel pour une personne seule (+3,40 € par jour par personne supplémentaire dans la famille). Ils peuvent également bénéficier de l’Aide Médicale d’État (AME).
C'est évidemment faux. Les demandeurs d’asile et migrants en situation irrégulière n’ont pas droit aux prestations sociales.
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4,7 tonnes par an : c'est donc 4 fois moins que les 10 % les plus aisés.
Moins pollueurs et donc moins responsables, les plus pauvres sont également ceux qui ont le moins de moyens pour s'adapter aux conséquences de la dégradation de l'environnement. Ils sont aussi ceux sur qui la fiscalité écologique pèse le plus fortement, en proportion de leurs revenus.
(Source : Qui émet du CO2 ? Panorama critique des inégalités écologiques en France, Revue de l'OFCE, 2020)
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Et non, c'est seulement 4%. Soit 32,1 milliards d’€ sur 813 milliards.
Concernant les dépenses liées à l’exclusion sociale, la France se situe au 6ème rang européen tant en part de PIB qu’au niveau des dépenses annuelles par habitant.
(Source : Crédoc)
Et oui, seulement 4%. Soit 32,1 milliards d’€ sur 813 milliards.
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Emploi décent : testez vos connaissances !
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Un emploi décent, c'est tout à la fois un emploi convenablement rémunéré, bien encadré par les lois du travail, qui offre des mesures de protection sociale, de meilleures perspectives de développement personnel et d'insertion sociale, qui assure l'égalité des chances et de traitement pour tous et qui assure la liberté pour les individus d'exprimer leurs revendications, de s'organiser et de participer aux décisions qui affectent leur vie ! Selon l'Organisation internationale du travail, un travail décent représente "l'ensemble des aspirations des gens en ce qui concerne leur vie professionnelle", aspirations relatives aux possibilités et revenus, aux droits et à la reconnaissance, à la stabilité familiale, au développement personnel, à l'équité et l'égalité entre les sexes.
Un emploi décent, c'est tout ça à la fois ! Selon l'Organisation internationale du travail, un travail décent représente "l'ensemble des aspirations des gens en ce qui concerne leur vie professionnelle", aspirations relatives aux possibilités et revenus, aux droits et à la reconnaissance, à la stabilité familiale, au développement personnel, à l'équité et l'égalité entre les sexes.
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Non ! Ce sont 2,2 millions de personnes qui, aujourd'hui en France, vivent sous le seuil de pauvreté bien qu'elles aient un emploi. En effet, avoir un emploi ne protège pas toujours de la pauvreté et de l'exclusion.
Et oui, aujourd’hui en France 2,2 millions de personnes occupant un emploi vivent pourtant sous le seuil de pauvreté. En effet, avoir un emploi ne protège pas toujours de la pauvreté et de l'exclusion.
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C'est faux ! En 2021, en France, 12,8% des jeunes étaient ni en emploi, ni en études, ni en formations selon une étude de l'Insee publiée en janvier 2023. Cette proportion atteint 18,3% à 24 ans. Il s'agit le plus souvent d'une situation subie, notamment pour les jeunes ayant quitté le système scolaire sans diplôme et/ou qui font face à des contraintes telles que la garde d'enfants, un état de santé dégradé ou des difficultés de mobilité géographique.
Correct ! En 2021, en France, 12,8% des jeunes étaient ni en emploi, ni en études, ni en formations selon une étude de l'Insee publiée en janvier 2023. Cette proportion atteint 18,3% à 24 ans. Il s'agit le plus souvent d'une situation subie, notamment pour les jeunes ayant quitté le système scolaire sans diplôme et/ou qui font face à des contraintes telles que la garde d'enfants, un état de santé dégradé ou des difficultés de mobilité géographique.
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C'est faux ! Si on ne prend en compte que les salariés, 15,3 % occupaient un emploi précaire en 2021, soit deux fois plus que dans les années 80, selon l'Observatoire des inégalités. Plus de la moitié des moins de 25 ans qui travaillent ont un contrat précaire, c'est à dire à durée déterminée, en intérim ou en apprentissage.
Exact ! Si on ne prend en compte que les salariés, 15,3 % occupaient un emploi précaire en 2021, soit deux fois plus que dans les années 80, selon l'Observatoire des inégalités. Plus de la moitié des moins de 25 ans qui travaillent ont un contrat précaire, c'est à dire à durée déterminée, en intérim ou en apprentissage.
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Et non... En 2019, le revenu salarial des femmes restait inférieur en moyenne de 22 % à celui des hommes, selon l'Insee.
Tout à fait ! En 2019, le revenu salarial des femmes restait inférieur en moyenne de 22 % à celui des hommes, selon l'Insee.
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Et non ! Quand on est très pauvre, l'âge de la retraite est depuis bien longtemps fixé à... 65 ans ! C'est en tout cas l'âge à partir duquel on peut prétendre à l'ASPA, venue remplacer le minimum vieillesse en 2007. Destinée aux personnes âgées disposant de revenus limités et/ou ayant peu cotisé pour leur retraite au cours de leur vie active, l'ASPA a vocation a assurer un niveau de vie minimum aux seniors les plus pauvres. Mais un senior sur deux ayant droit à l'ASPA ne le demande pas.
Et oui ! Quand on est très pauvre, l'âge de la retraite est depuis bien longtemps fixé à... 65 ans ! C'est en tout cas l'âge à partir duquel on peut prétendre à l'ASPA, venue remplacer le minimum vieillesse en 2007. Destinée aux personnes âgées disposant de revenus limités et/ou ayant peu cotisé pour leur retraite au cours de leur vie active, l'ASPA a vocation a assurer un niveau de vie minimum aux seniors les plus pauvres. Mais un senior sur deux ayant droit à l'ASPA ne le demande pas.
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Mauvaise réponse ! Le ministère du Travail a évalué à 13,5 millions le nombre de personnes concernés par au moins un facteur de pénibilité en France métropolitaine. Il peut s'agir de contraintes physiques marquées, d'environnement agressifs, de rythme de travail atypiques...
Tout à fait ! Le ministère du Travail a évalué à 13,5 millions le nombre de personnes concernés par au moins un facteur de pénibilité en France métropolitaine. Il peut s'agir de contraintes physiques marquées, d'environnement agressifs, de rythme de travail atypiques...
The average score is 36%
Stop à la maltraitance institutionnelle : Le quiz !
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La maltraitance institutionnelle c'est...
Faux ! La réponse était la première.
Les violences physiques peuvent être comprises dans les maltraitances institutionnelle, mais ne sont pas représentatives de l’ensemble des formes de ce type de maltraitance. Enfin, la réponse 3 nous donne une définition de la « maltraitance sociale », c’est-à-dire de tous les comportements discriminatoires et préjugés envers les personnes précaires.
Correct ! Les institutions, par leur action ou leur inaction sont susceptibles de ne pas répondre de manière appropriée aux besoins des personnes qui font appel à elles. Cela peut avoir des conséquences particulièrement néfastes pour les usager.ère.s, portant atteinte durablement à leurs droits et leur dignité.
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Parmi ces listes, laquelle ne contient que des institutions qui assurent une mission de service public ?
Faux !
Un service public est une activité exercée directement par l'autorité publique (État, collectivité territoriale ou locale) ou sous son contrôle, dans le but de satisfaire un besoin d'intérêt général. En ce sens, seule la liste 3 ne contient que des institutions assurant une mission de service public, à savoir :
L’école, la Préfecture et le Ministère des Solidarités sont également des institutions publiques, mais ces réponses contiennent dans leur liste des organismes privés : la Caisse d’Epargne (banque), TF1(chaîne télévisée privée) et la Matmut.
Toutefois, de la maltraitance peut se retrouver dans toute forme d’organisation, y compris dans les organisations/ entreprises privées.
Correct !
Un service public est une activité exercée directement par l'autorité publique (État, collectivité territoriale ou locale) ou sous son contrôle, dans le but de satisfaire un besoin d'intérêt général.
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La maltraitance institutionnelle touche l’ensemble des individus avec des conséquences égales, quelles que soient leurs conditions socio-économiques.
Faux
Si tout le monde peut être victime de maltraitance institutionnelle, les conséquences sont bien souvent plus dramatiques et durables pour les personnes en situation de pauvreté. En effet, ce type de maltraitances entrave leur accès aux droits et aux ressources économiques minimales en se conjuguant à d’autres dimensions de la pauvreté (maltraitance sociale, privations matérielles et de droits, isolement, etc). L’exposition à ces violences récurrentes contribue à enfoncer davantage les personnes précaires dans la grande pauvreté.
Correct
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Parmi les causes de maltraitance institutionnelle envers les personnes en situation de pauvreté, on compte… (Plusieurs réponses possibles).
Les politiques sociales, majoritairement conçues selon une approche descendante, ignorent trop souvent les réalités vécues par les personnes en situation de pauvreté. Ce décalage contribue à l’existence de maltraitance institutionnelle.
Toutefois, si les institutions ont leur part de responsabilité dans de ce risque, celles-ci souffrent aussi du peu de moyens humains et économiques dont elles disposent : le manque de personnel, l’absence de solution, le manque de temps et d’information… sont autant d’éléments qui augmentent les risques de maltraitance institutionnelle. C’est souvent malgré eux.elles que les professionnel.le.s sont acteur.ice.s de cette maltraitance. Les mauvais traitements envers les personnes en situation de pauvreté à une échelle individuelle ne peuvent pas être qualifiés de « maltraitance institutionnelle », sauf si elle contrainte par le fonctionnement du système lui-même. Il s’agit plutôt de maltraitance sociale, puisqu’ils n’ ont pas de liens directs avec l’aspect systémique du fonctionnement des institutions.
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Les professionnel.le.s des institutions publiques ne peuvent pas être victimes de maltraitance institutionnelle.
Les professionnel.le.s d’institutions peuvent être eux.elles-mêmes maltraité.e.s, lorsqu’ils.elles n’ont pas les moyens effectifs de remplir leur mission de soutien et d’accès aux droits. Ce manquement peut être durement vécu : de nombreux.se.s professionnel.le.s se sentent impuissant.e.s face à ces discriminations, voire même involontairement « complices » de la maltraitance institutionnelle. Ils.elles peuvent alors le vivre comme une violence psychologique. Ces situations de maltraitances ne sont pas équivalentes entre personnes en situation de pauvreté et professionnel.le.s travaillant dans les institutions, leurs conséquences étant différentes.
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Combien de personnes un.e conseiller.ère France Travail suit-il.elle en moyenne ?
Selon un rapport de l’inspection générale des finances (IGF) et de l’inspection générale des affaires sociales (IGAS) publié en février 2023, un.e conseiller.ère France Travail s’occupe en moyenne de “350 à 400 chômeur.ses”. Le manque de moyens alloués au domaine de la recherche d’emploi (le taux de chômage étant à 7,5 % en France en 2023) conduit à un manque d’effectif parmi les agent.es chargé.es de l’insertion professionnelle. Cette situation surcharge le travail des conseiller.ères et réduit la qualité des accompagnements. Cela génère donc de la maltraitance institutionnelle, non seulement pour les professionnel.les mais aussi et surtout pour les personnes suivies par France Travail.
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Parmi ces situations, lesquelles peuvent être qualifiées de « maltraitance institutionnelle » ? (Plusieurs réponses possibles).
La réponse numéro 2 ne décrit pas une situation de maltraitance institutionnelle mais plutôt de maltraitance sociale. La maltraitance sociale s’apparente à de la pauvrophobie, les personnes en situation de pauvreté étant discriminées du fait de leur statut social et économique. Ce phénomène est dû aux préjugés présents partout dans la société.
Les autres situations sont représentatives de la maltraitance institutionnelle, aux conséquences graves pour les plus pauvres.
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Quel est le pourcentage de Français.ses qui n’ont pas recours aux aides et dispositifs sociaux auxquels ils.elles ont droit par crainte des conséquences négatives (abus de pouvoir, manque de confidentialité...) ?
D’après une étude d’avril 2023, publiée par la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees) révèle qu’en 2021, 18 % des Français.es ne demandent pas d’aides par peur des conséquences négatives, contre 8% en 2016. Cette augmentation inquiétante montre bien l’actualité du sujet de la maltraitance institutionnelle, qui s’étend à mesure que l’État se désengage de ses devoirs en termes de droits sociaux.
Ces conséquences négatives sont d’ordres multiples (crainte d’un abus de pouvoir, manque de confidentialité, peur du jugement, etc) et restreignent l’accès au droit des usager.ère.s, en particulier les personnes en situation de pauvreté.
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Quelles grandes tendances actuelles participent au renforcement des maltraitances institutionnelles ? (Plusieurs réponses possibles).
Toutes les réponses sont justes ! Le contexte politique actuel mène au renforcement et à l’augmentation des maltraitances institutionnelles.
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Comment aider une personne en situation de pauvreté victime de maltraitance institutionnelle à faire valoir ses droits ? (Plusieurs réponses possibles).
En plus de ne pas aider une personne en situation de pauvreté, la première réponse est un exemple de maltraitance sociale! En effet, adopter une posture de jugement moral envers les personnes en situation de précarité n’est jamais la solution ; ces « conseils » ne respectent par leur dignité et restent souvent inutiles et inefficaces. Pour que les personnes puissent sortir de l’extrême pauvreté, il faut leur redonner du pouvoir d’agir, les soutenir dans leurs démarches et non pas considérer que leur situation relève d’un manque de volonté de leur part.
On ne choisit jamais de tomber en situation de pauvreté, et la société toute entière doit se mobiliser pour mettre fin à la spirale infernale de l’extrême pauvreté.
Toutes les autres réponses sont des exemples d’action pour aider, à son échelle, des personnes en situation de pauvreté subissant de la maltraitance institutionnelle. Elles ne sont bien-sûr pas les seules actions possibles !
Agissons tou.tes afin d’endiguer les maltraitances institutionnelles et éradiquer la pauvreté.
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Étape 1 sur 5 - Question 1
Voici les 4 façons de vous engager qui correspondent le mieux à votre profil :
Je rejoins la team d’ATD Quart Monde sur Facebook, Instagram et Twitter pour dire #StopPauvreté !
Je découvre les ouvrages des Éditions Quart monde : à lire et à relire !
Je fais un don et participe au fonctionnement d’ATD Quart Monde et au développement de ses actions.
Je participe à l’organisation d’un Festival des Savoirs et des Arts près de chez moi pour une parenthèse culturelle.
Je participe à un chantier tout au long de l’année pour découvrir ATD Quart Monde et d’autres personnes engagées dans la lutte contre la pauvreté.
Direction le jura pour quelques jours à la bise où j’accompagne des familles pendant leurs vacances pour m’assurer du bon déroulement de leur séjour.
Je deviens animateur d’une bibliothèque de rue pour échanger autour des livres avec des enfants et des familles qui vivent l’isolement.
J’organise des événements de sensibilisation autour de moi pour déconstruire les idées fausses sur les pauvres et la pauvreté
Pour tout savoir sur la lutte contre la pauvreté et les actions du Mouvement, je m’abonne au Journal d’ATD Quart Monde et je suis le podcast
Je deviens allié du Mouvement ATD Quart Monde et je m’engage à porter le combat contre la misère au quotidien, au sein de mon milieu social, culturel et professionnel
Je rejoins un groupe local d’ATD Quart Monde pour lutter contre la pauvreté près de chez moi.
Je découvre le volontariat permanent pour m’engager dans la durée auprès des personnes les plus pauvres.