Abstention massive, méfiance à l’égard des représentants politiques, syndicaux ou associatifs, désengagement des jeunes, émergence de mouvements contestataires parfois violents, méfiance à l’égard des médias traditionnels… La crise du modèle démocratique est-elle une fatalité à laquelle se résigner ? Quelles conséquences sur les plus pauvres ?