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Comme des orpailleurs
Comment découvrir la part lumineuse de chaque être humain lorsqu’elle est obscurcie par la désespérance et l’effroi qu’engendre une trop grande précarité ?
Maryvonne Caillaux nous propose un chemin : être comme des orpailleurs, mus par la confiance que les sédiments recèlent l’invisible de l’or.
Description
De la misère à la pauvreté, les relations comme chemins de libération
A partir de son expérience personnelle et de son vécu depuis vingt-cinq ans auprès de personnes très pauvres au sein du Mouvement ATD Quart Monde, en s’appuyant sur de nombreuses études de sociologues et de philosophes, l’auteure, dans un style plein d’allant mais avec beaucoup d’humilité et d’humanité, explique comment on peut se libérer en entrant en relations.
Elle déroule le fil lent d’une libération qui commence toujours par une rencontre, une mise en confiance qui permet l’acceptation de soi d’abord, des autres proches et plus lointains, en quatre champs de relations qui se recoupent les uns les autres : champ de l’Intériorité, champ de l’Intime, champ de l’Autre proche, champ de l’Autre-autre.
Maryvonne Caillaux illustre cette découverte de l’altérité par l’histoire de deux personnes très pauvres, celle de Marcel, auteur de Ceux des baraquements, et celle d’Anne. Tous deux, par des voies très différentes ont parcouru ce long chemin de vérité.
Etude-référence pour tous ceux que les relations humaines intéressent, en particulier pour les travailleurs sociaux.
