Autobiographie d’un homme qui est né et a vécu dans la grande pauvreté et souhaite transmettre un message d’espoir pour tous ceux qui connaissent la misère.
Il redit l’importance de l’engagement collectif et des valeurs essentielles que sont la confiance et l’amitié.
« Quelques briques, du bois et de la tôle pour le toit ». Voilà l’univers des baraquements, à Vitré, en Bretagne. C’est là qu’a grandi Marcel Le Hir, l’aîné d’une famille de sept enfants. La boue, les odeurs, les rats, le ramassage des ordures pour « ramener un peu d’argent à la maison » , tel est son quotidien.
Son placement en orphelinat et l’éclatement de sa famille, déjà fragilisée par des conditions de vie misérable, ne feront que le déstabiliser un peu plus. Comment se construire et réussir sa vie quand on est, comme il le dit lui-même, « poursuivi par le malheur » ?
Pourtant, envers et contre tout, Marcel s’accroche. Licenciement, expulsion, maladie n’auront pas raison de l’espoir et de la volonté d’en découdre qui l’animent, même si, l’alcool aidant, il est tenté d’abandonner la partie à bien des reprises…
Ceux des baraquements est avant tout un extraordinaire message d’espoir pour tous ceux qui, comme Marcel, connaissent la misère à un moment ou à un autre de leur vie. Il redit l’importance de l’engagement collectif et des valeurs essentielles que sont la confiance et l’amitié car, comme le dit Marcel, « on ne peut construire le bonheur tout seul ».
« Un véritable message d’espoir pour tous ceux et celles qui, comme lui, connaissent la misère, l’exclusion, à un moment ou l’autre de leur vie. Il nous rappelle l’importance de la confiance en soi, de l’échange et des relations avec les autres qui apportent l’indispensable réconfort par leur solidarité patiente. »
Ouest France
RICHARD Mathis –
Bonjour, j’ai eu la chance d’entendre le témoignage de Marcel lors d’une intervention ay lycée Jean Paul 2, l’histoire de Marcel est totalement boulversante et si bien racontée. Je pense qu’il donnne de l’espoir a tous ceux connaissant la misère et Marcel a eu la chance de s’en sortir. Je recommande d’acheter le livre.
Anonyme –
Je suis d’une famille de 6 enfants (privilégiés !)de Vitré où nous avons côtoyé une partie de votre famille sur les bancs de l’école publique. Votre témoignage ne triche pas avec la réalité de la vie que vous avez dû endurer… où la majorité des familles vous évitaient et vous laissaient dans l’indifférence générale, j’ai été très ému à la lecture de votre livre et vous félicite pour d’avoir eu le courage d’écrire un tel récit… cordialement et bon courage !
Belkisse philippe –
Passer une partie de mon enfance et reloger à.la baratiere ai connu la famille houdiard
AUDUREAU dominique –
Votre témoignage dans Ouest France m’a interpellé car je suis née à VITRE en 1947 et j’ai été à l’école ST Jeanne d’Arc toute mon enfance. j’ai certainement cotoyé la même congrégation de soeurs que vous …je vais acheter votre livre!
Geoffrey Renimel –
Merci Dominique. N’hésitez pas à nous dire ce que vous en avez pensé quand vous l’aurez fini.
Bien à vous,
Geoffrey
Le Calvez –
Votre témoignage de vie M a profondément touchée , j ai lu la page qui vous est consacré sur le Ouest France d aujourd hui, je vais commandé votre livre demain, j j’ai moi-même eu une enfance très difficile j’ai été élevé dans un institut religieux et psychiatrique parce que ma mère après avoir été abandonnée enceinte de moi, à sombre dans la dépression , internée et malade , j ai subi au fil des ans les allers et venus de ses séjours successifs en HP. Merci de votre témoignage.
Geoffrey Renimel –
Bonjour,
Merci de votre commentaire. Bonne lecture ! N’hésitez pas à nous dire ce que vous avez pensé du livre.
Bien à vous
Geoffrey
fadier leone –
je vais acheté le livre.je vous ait connu dans mon enfance pas facile non plus et votre message sur le journal aujourd’hui m’a interpellé.je me souviens d’une de vos soeur qui etait je pense de mon age.je suis de vitré aussi et née en 1961 bonheur a vous mr le hir
Vincent –
je viens de lire ce livre. je l’ai lu d’un seul coup tellement il est prenant.